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Affichage des articles associés au libellé art de l'âme

Je ne suis pas douce et c'est très bien ainsi

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Ok, faisons un peu de autocélébration pour une fois. La douceur est une belle qualité . La douceur est souvent la bienvenue. Nous savons que la douceur est indispensable dans ce monde, je pense que nous pouvons le dire. Je ne suis pas une personne douce . Je peux être vraiment fiable, vraiment empathique et présent, etc., mais je ne suis pas douce. Je me suis sentie parfois coupable à ce sujet . Sans vraiment savoir pourquoi. Comme si j'avais raté quelque chose. C'est arrivé que quelqu'un me dise "Tu n'es pas douce". Le truc, c'est que je me sentais MAL à ce sujet. Très récemment, j'ai enfin compris à quoi était lié ce sentiment de culpabilité. Ce qui ça déclenche véritablement.  C'est la blessure profonde de ne pas être voulue . Peu importe le « pourquoi », à chacun son histoire. Le fait est que les blessures qui ont leurs empreintes dans nos cellules déterminent nos actions tout au long de notre vie sans que NOUS en soyons conscients. Lorsque no...

Création : processus subtil et parcours d'âme

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La création est un processus subtil que pour certains sur cette Terre permet de dépasser le manque,la nostalgie du tout amour et permet d'incarner notre véritable essence pour aller au delà.  Comme tout processus subtil ça peut être fragile dans la matière.  C'est dans mon parcours,  et dans celui de chacun,  de faire en sorte que ce lien d'amour soit maintenu malgré tout. 

Encore là et vers la quatrième dimension

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Le passage à la quatrième dimension,  aussi du point de vue artistique,  ne peut pas se faire avec la même modalité que avant.  Du coup je marche sur des chemins parallèles. Mais je suis toujours là.  Entre temps il y a eu les coquelicots,  le passage au 50 ans et l'arrivée des cigales  J'ai aussi fait mon premier séminaire art & yoga

Pensées éparpillées pour les semaines 20 et 21. En retard. J'ai pris le large par rapport à certaines choses.

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On parle trop.  Tous.  Même quand on a quelque chose à dire, c'est encore trop.  Un vacarme continu. On joue au diable et à l'avocat du diable Les caquetages plus ou moins bruyants arrivent de plus en plus vite au paroxysme. Vérité que j'expérimente et à laquelle je pense souvent : il n'y a pas de hasard, il y a que le libre arbitre. Si nous ne sommes pas à l'aise dans ce vacarme, il faut trouver un moyen de ralentir et peut-être de s'arrêter. Oh surprise : rien ne s'effondre ! Lenteur et silence Ce n'est pas possible de changer de paradigme en suivant toujours le même schéma Et comprendre ne « protège » pas de la vie On peut construire un lien sur un manque.  Et répéter le même chemin dans des contextes différents et insoupçonnés. C'est pourquoi il est difficile d'accepter ce qui se passe. Ce vide impossible à combler de l'extérieur est une blessure qui se réactive à la moindre occasion. Et non, ça n'arrive pas qu...