Pensées éparpillées pour les semaines 20 et 21. En retard. J'ai pris le large par rapport à certaines choses.
On parle trop. Tous. Même quand on a quelque chose à dire, c'est encore trop. Un vacarme continu. On joue au diable et à l'avocat du diable Les caquetages plus ou moins bruyants arrivent de plus en plus vite au paroxysme. Vérité que j'expérimente et à laquelle je pense souvent : il n'y a pas de hasard, il y a que le libre arbitre. Si nous ne sommes pas à l'aise dans ce vacarme, il faut trouver un moyen de ralentir et peut-être de s'arrêter. Oh surprise : rien ne s'effondre ! Lenteur et silence Ce n'est pas possible de changer de paradigme en suivant toujours le même schéma Et comprendre ne « protège » pas de la vie On peut construire un lien sur un manque. Et répéter le même chemin dans des contextes différents et insoupçonnés. C'est pourquoi il est difficile d'accepter ce qui se passe. Ce vide impossible à combler de l'extérieur est une blessure qui se réactive à la moindre occasion. Et non, ça n'arrive pas qu...